Carré 89

Carré d'étude réservé par Fanny BOTREL

Un quartier vide de vie mais pourtant riche d’histoire.

Nom du lieu : Rue Claude Kogan, place Lionel Terray.

Pour la première visite de mon carré, j’ai décidé d’y aller sans prendre connaissance du lieu, de l’histoire se trouvant derrière, et du travail réalisé par les élèves des précédentes années concernant ce devoir. En arrivant sur les lieux, j’ai tout de suite été marquée par l’ambiance pesante du lieu, un espace vide d’habitant; je n’ai croisé quasiment personne sur la délimitation de mon carré, j’avais comme l’impression d’être dans un village fantôme.

Sur place, je me suis assise sur un des bancs présent et je me suis donc renseignée sur ce site, ainsi je suis restée environ une heure et demi au sein même de mon carré. J’ai pu apprendre qu’après les JO d'hiver de 1968, ce village crée pour l’évènement fu réadapté en logement et aménagé pour faire de ce lieu un espace de vie “agréable”; de nombreux parcs pour enfant furent construit, aux alentours certaines écoles réaménagées, des places réhabilitées et de nouveaux commerces ont ouvert.

Cependant, aujourd’hui le lieu me donne l’impression d’être “tombé à l’abandon”, la vie n’y est pas présente activement et la grande majorité des commerces ont l’air d’être fermé définitivement.
L'espace même est délimité par une parcelle de verdure encadrée par deux rangées d'immeubles parallèles encadrant la zone, ces deux bâtiments ont tous les deux la même hauteur et la même dimension, ce qui renforce à mes yeux l'aspect d'un quartier fermé et coupé de l’extérieur, comme renfermé sur lui même.
Au total, je n’ai aperçu que quelques personnes sur l’intervalle de temps où j’étais sur place, 1 homme faisant du vélo traversant le quartier et un petit groupe de personne se promenant en famille. De plus, j’entendais au loin les cris des supporters d’un match de foot aillant lieu à proximité, j’avais donc comme l’impression d’être exclue, à l’écart de toute activité humaine en étant au sein même du carré 89.

Ici, un fond audio plus informatif que le visuel.

Simple délimitation qui, a mes yeux embellit le lieu.

Rare personne, sûrement un habitué.

Une place, d’apparence déserte

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