Carré 7
Carré d'étude réservé par Erwann DEGENNE
Une atmosphère contrastée
Nom du lieu : Bastille
Le calme de la montagne est perturbé par des travaux. Au loin, on entend de la musique qui se mêle aux sirènes des pompiers. La nature de la montagne est contrastée par la vue lointaine de la ville. D’ici, on se sent à la fois hors de la ville et en même temps très proche de cette dernière. Le sentiment de solitude ressenti est rapidement éclipsé par le bruit des visiteurs. D’ici, on distingue clairement la ville et
toute son agitation, les voitures, les trains. On distingue les différentes avenues, certains bâtiments imposent leurs formes dans le paysage. Cette ville que l’on distingue fait pleinement partie du paysage montagneux qui s’étend à perte de vue. C’est comme si Grenoble avait toujours été là.
Une fois la nuit tombée, le lieu se voit privé de toute la vie qui l’habitait seulement quelques heures auparavant. Maintenant, la bastille dégage une atmosphère très froide, vide, comme si le sentiment de solitude éprouvé précédemment venait s’ancrer plus profondément en nous. La ville pourtant si présente ici de jour, ne représente maintenant plus que quelques lumières au loin. A la nuit, vient ensuite s’ajouter la pluie, comme si le lieu cherchait à nous isoler de la ville qui disparaît peu à peu dans un épais brouillard. L’atmosphère devient pesante, lourde. L’alarme retentissante, signalant l’arrêt du téléphérique vient briser le silence, comme pour nous rappeler que la ville est toujours présente, tout prêt, quelques mètres en contrebas. Puis le calme revient, rendant au lieu son
atmosphère oppressante.
Un silence brisé par la pluie
Perception lointaine d'une ville éclairé
Une ville dans les montagnes
Un bâtiment, symbole de la vie humaine