Carré 63
Carré d'étude réservé par Maroua SAFFA
Lieu oublier
Nom du lieu : Parking situé entre la rue Jacquard l’avenue Stalingrad
Il est 10h mercredi matin. Le parking a une atmosphère calme et l'agitation de la ville se fait entandre. Vous pouvez écouter les oiseaux gazouiller parmi le bruit des feuilles des grands arbres . Très chaud et humide,c’est le début de l'hiver.
Je suis retourné sur ce parking ce soir-là.
Les rues sont calmes, pas de bruit, juste une brise froide bruissant les arbres. On a l'impression que les ombres nous regardent et que la lumière nous poursuit.
Le scenario parfait d’un film d’horreur.
Mais malgré ce malaise, on peut encore ressentir le désir d'être meilleur, de renouveler… En effet, la végétation existe autour des rues. De beaux feuillages d'automne chauds bordent les trottoirs. Le bruissement des feuilles sous mes pieds me rappelait la vie éphémère de la nature. Des arbres imposants au-dessus du parking cachent la carrosserie scintillante d'une voiture et permettent à l'environnement de révéler sa grandeurs.
La rue Stalingrad qui se trouve en face est très fréquentée. Vous verrez passer des camions, des voitures, des bus, des vélos, des piétons et même des scooters électriques qui ne prennent pas le temps de s'arreter sur le parking. Il y a du mouvement dans toutes les directions, mais il est régulé par le rythme constant des signal et des feux rouge.
Vendredi après-midi vers 17h30. Le soleil s'est couché et il fait gris. Rien de nouveau à signaler si ce n'est que ce parking est décidément sans vie. Les gens rentrent chez eux, mais personne n'entre dans le parking. Je n’es pas non plus ce courage donc, je décide de suivre leurs exemple et de rentrer chez moi. Qui sait ce qui va se passer dans ce vieux parking abandonné...
Les gazouillement des oiseaux en matinée
Frontiére entre vie et destruction
Un gorille se cache deriére un arbre
La vegetation reprend ses droits