Carré 39
Carré d'étude réservé par Rayane M’DERE
Sous la symphonie des moteurs au sein du boulevard Gambetta
Nom du lieu : Boulevard Gambetta, face à l'IUT
11H34
Une fois arrivée sur les lieux,
La première chose qui attira mon attention fût ce calme et cette longue allée qui mène à l’entrée du Collège Champollion qui était totalement désertes mais qui aller certainement réincarner les rues de Séoul en pleine après-midi lors de la sortie des enfants. Lorsque je me suis retourné je me suis vu surprit par cette magnifique montagne qui tenait fier devant mes yeux, Ses reliefs m'assoupissait les paupières de par sa distance qui paraissait interminables je décide ensuite de fermer les yeux afin de me concentrer sur ce qu’il se passe autour de moi.
Le bruit le plus récurent est celui des quelques moteurs qui passait autour de moi mais à part ça je distinguais surtout le bruit des oiseaux et du vent qui me caressait les oreilles. Ils étaient suivis de quelques craquements et autre bruit que provoquais les passants. Lorsque je rouvre les yeux j’aperçois en arrière plans une terrasse assez fréquenter avec quelques personnes assises à l'extérieur, c’est d’ailleurs à ce moment précis que je comprends que les craquements que j’entendais était seulement le choc des cuillères sur les tasses des personnes assises.
16h55
Une fois de retour sur les lieux l’ambiance y est tout autre, les doux bruits des oiseaux ce sont transformer en une symphonie automobile. Tant dit que cette allée désertes s’est transformée en un véritable marchée. Le bruit des cuillères contre les tasses était devenu une mélodie. On ne pouvait que distinguer les bruits et les craquements des enfants qui marcher en direction de ma personne, Ainsi que les voitures qui avait formées une chenille sans fin, mon seul bienfaiteur était ce feu-tricolore qui stopper temporairement cette horrible symphonie et qui me permettait de profiter du bruit des oiseaux qui se loger dans les arbres.
Malheureusement, lorsque les voitures redémarrèrent, la symphonie des moteurs reprit le dessus et brisa cet état d’apaisement qui s’installais peu à peu en moi.
Focus sur ce défilé interminable de L'Œuvre humaine.
Toutes forment de vie se fane avec le temps...
Allée déserte menant au collège, qui se transformeras peu à peu en mégapole.
Une terrasse qui se transforme en orchestre.