Carré 38

Carré d'étude réservé par Anaelle EVESQUE

Harmonie urbaine : entre agitation et sérénité

Nom du lieu : Croisement de la rue Lesdiguières et du boulevard Gambetta

Par un jour d’automne, je me rendis dans cette zone qui m’avait été attribuée.
A première vue, c’était un endroit plaisant vibrant de vie. Plusieurs bars animaient les lieux, accompagnés d’un salon de coiffure,
 d’un collège et d’un bureau de tabac.
Je me concentra sur le fond sonore qui régnait ici : le grondement des moteurs, le chant des oiseaux et les conversations des passants s’entremêlaient.
 
Ne sachant plus où porter mon attention, 
je constatai que ce quartier était bruyant, mais débordant d’animation.
Mon regard se fixa ensuite sur le croisement entre la rue Lesdiguières et le boulevard Gambetta.
Les véhicules s’y succédaient, avançant dans différentes directions,
 s’arrêtant et redémarrant au rythme des feux tricolores.
 Les teintes variées des carrosseries ajoutaient une touche de couleur au ballet urbain,
 et au milieu de tout cela, des cyclistes suivaient une cadence semblable à celle des voitures.
Je pris le temps d’observer les passants autour de moi.
 Deux coureurs longeaient le trottoir d’en face, une vieille dame portait un sac à la main,
 un homme promenait son chien,
 des enfants couraient devant leurs parents, 
des étudiants riaient,
 un homme avançait d’un pas rapide, 
tandis qu’un couple attendait patiemment devant le passage piéton.
Tous avançaient sans prêter attention à ce qui les entourait.
Je m’intéressai alors à tous les autres éléments composant cet espace. Je remarquai les arbres dénudés, leurs feuilles tombant lentement au sol, et les nombreux vélos soigneusement garés dans la rue.
 En levant les yeux,
 je découvris des bâtiments aux façades élégantes.
 En regardant encore plus loin,
 je fus émerveillée par l’immensité des montagnes,
 qui se dressaient majestueusement à l’horizon,
 offrant un contraste remarquable avec l’agitation urbaine.
Je pris conscience que ce lieu, qui semblait d’abord banal, regorgeait en réalité de détails captivants. Chaque élément semblait raconter une histoire, s’inscrivant dans un tableau vivant.

Rythme urbain : danse des passants et des véhicules

Là où les chemins se rencontrent

Éclat de nature entre les rues

L’automne se révèle

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