Carré 242
Carré d'étude réservé par Victor LAVISSE BOISSE
Le calme avant la tempête...
Nom du lieu : 21 Avenue des Maquis du Grésivaudan 38700 La Tronche.
Je me suis rendue à deux reprises sur mon carré, une fois par beau temps et une autre par temps de pluie.
Cet espace est flanqué de deux arrêts de bus de part et d'autre de la route, d'une piste cyclable, d'une boulangerie avec son parking au rez-de-chaussée, et d'une barre d'immeuble. On y découvre également une maison, ainsi que l'école Médiplus, dotée de deux parkings séparés par une barrière.
On voit que c’est un espace qui est pensé pour nos besoins actuels, des lieux d’habitations, une école mais surtout, plusieurs parkings. On comprend que dans ce carré, la voiture et les moyens de transports en général sont mis en avant. C’est ce qui va créer l’ambiance du lieu.
À chaque fois que je m'y suis rendue, je ne me suis pas sentie bien. C’est un lieu où il y a beaucoup de passage, de voitures, de bus, de vélos, de piétons. Pour une personne qui vient de la campagne comme moi, c’est un espace presque « dangereux » dans lequel je ne me sentais pas à l'aise. Heureusement, ce flux est alterné en contrebas par un carrefour avec des feux tricolores qui rythment la circulation. Cette double façade du carré, l’une avec ce flot continu de voitures et celle sans circulation m'a fait prendre conscience du bruit généré par les moteurs et les passages des différents moyens de transport. De plus, le répit de bruit est très pesant on s’attend à voir une vague de sons qui vient agresser nos sens, c’est très perturbant.
En contrebas, entre la barre d’immeuble et la petite maison, on y retrouve deux parkings et l’école. J’ai trouvé cet espace plutôt apaisant comparé au reste du carré. Le fait que ce soit en contrebas fait de ce lieu une « petite île paradisiaque » absente de tout mouvement brusque et de bruit. La comparaison pourrait se faire entre le flux très diminué des voitures qui se garent et des vagues.
Lors de mon deuxième passage j’ai trouvé que le lieu avait la même ambiance, surtout qu’il pleuvait, ça rendait le lieu vraiment sinistre.