Le barrage en béton

Cet espace est situé à saint Egrève au niveau du barrage EDF, bloquant l’Isère. La première fois que j’y suis allé c’était le 18/09 à 16h30, il faisait beau temps. Dans un premier temps je me suis focalisé sur les bruits environnants. Ce jour-là, il y avait beaucoup de bruit du a une circulation très dense, ce qui a été aussi le cas la deuxième fois, le 14/10 à 12h. Il y a un bruit désagréable du au passage des voitures : ce sont les joints du barrage qui à chaque voiture qui passe, font un son très entêtant. Puis en fond on entend le bruit de l’eau passant le barrage. Cela contraste avec les autres sons, c’est agréable. Sur cet espace il y a une piste cyclable plutôt large qui laisse de la place pour deux vélos. Mais les piétons sont moins admis car c’est assez dangereux du fait des passages de vélo et des voitures qui sont juste à côté. De plus le passage des vélos est plutôt intense les deux fois où j’y suis allé. Ces flux peuvent être compliqué pour les piétons qui veulent passer. Enfin l’odeur de béton est très présente tout du long notamment la première fois car l’espace était très humide. On peut donc en conclure que ce barrage est un lieu de passage constant surtout aux heures de pointe. Le barrage est au milieu de rond points, créant beaucoup de bouchons et il y a aussi une sortie d’autoroute pas loin.
Le barrage est entièrement fait de béton contrastant avec l’eau et les montagnes qui sont des éléments naturels en offrant une vue à 360° sur le milieu. Je n’ai pu voir qu’un coté de l’Isère, celle où l’eau est relâchée, car l’autre côté est caché par de grosses barrières blanches et un mur en béton. Ce jour-là l’eau de l’Isère n’était pas très haute donc j’ai pu voir la hauteur du barrage, contrairement à la deuxième fois. La première fois, le flux de l’Isère n’était pas très intense mais le deuxième jour il y avait beaucoup plus de flux et l’eau faisait plus de bruit.

Un rythme effréné du à une circulation dense où la nature et le silence luttent pour exister.

Un barrage multifonctionnel sur l’Isère, où la nature et les besoins modernes se rencontrent.

Un barrage coupant la vue de la nature où les voitures passent sans s'arrêter.

Une vue qui semble être infini où le calme prend place et nous fait oublier les voitures.