Carré 16

Carré d'étude réservé par Taha BOUTARFA

Sentinelles silencieuses

La forêt surplombant Grenoble, est enveloppée d'une brume humide.
Les arbres, aux couleurs flamboyantes, se dressent comme des sentinelles silencieuses.

Depuis le milieu de cette colline, on aperçoit la ville, qui s'étend à perte de vue.
Les toits des maisons scintillent sous les rayons du soleil.
Les téléphériques, qui relient la ville à la montagne, passent au-dessus de la forêt.
Le silence, seulement troublé par le bruissement des feuilles et par le chant des oiseaux.

On se sent loin du monde, au milieu de cette nature sauvage et préservée. On oublie le temps qui passe, on se laisse bercer par la beauté des paysages.
Avec pour seul rappel au temps, le passage des téléphériques au dessus de nous, on s'enfonce dans la forêt.

La végétation est dense, l'odeur de terre humide et de champignons nous parvient. Les branches des arbres se touchent et se mêlent et se croisent, les branches au sol craquent et se cassent, les orties et les ronces s'accrochent à nos vêtements.

Douce piqûre que celle d'une nature sauvage se défendant.
à l'écoute du silence, les yeux entrouvert comme pour filtrer toute ces infos sensitives nous parvenant.
Est alors venu le temps de rentrer, la nuit s'installant rapidement.

En cette fin d'automne, le soleil est timide, la lumière diffuse.

Depuis les hauteur de la forêt, la ville se dévoile. Contraste saisissant entre nature et urbanisation. Une vue invitant à la comptemplation.

Un arbre majestueux, témoin d'une ville changeante.

La forêt s'enveloppe d'un manteau de couleurs chatoyantes, une ode à l'automne.

Une forêt dense, recouverte de lierre, se dresse comme une barrière naturelle contre toute personne.

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