Carré 134

Carré d'étude réservé par Amaury JARDIN

La campagne au sein de la ville

Nom du lieu : Rue Lucien Sampaix

Le temps est nuageux, il fait même chaud pour la saison.
Le quartier est comme endormi, seul le bruit des voitures qui passent vient perturber le calme ambiant. Au loin, je perçois des cris et des rires d’enfants, ce qui me confirme que cet endroit est bien habité.
Ce calme me permet de profiter des sons de la nature environnante : le chant des oiseaux, le bruit chantant du vent qui caressent les habitations.
A mon arrivée ici, j’ai été impressionné par la vision d’un mur de végétation : une colline, qui semblait dire stop à l’étalement urbain grâce à son imposante grandeur.

Le soleil illumine le quartier. Au premier regard, les maisons brillent de mille feux, puis, assez rapidement, elles s’assombrissent. C’est le signe du changement de saison.
Le calme qui prévaut indique que nous sommes dans un quartier résidentiel, les habitants sont pour la plupart au travail.
Aujourd’hui j’ai pu parler à quelques habitants de mon carré. Ils sont très sympathique et y vivent depuis longtemps. Ils me raconte avec plaisir l’histoire de leur quartier, son évolution constante depuis qu’ils y vivent. Je sens, de leur part, un vrai attachement à celui-ci, comme s’ils habitaient un village.
Je me suis rendu compte de l’importance du point de vue dans la vie.

En arrivant, je suis accueilli par la pluie. L’air est froid et humide.
Pour me protéger, je me mets à l’abri sous le sapin géant qui m’avait protégé du soleil l’autre jour.
Le quartier est très calme. J’écoute la pluie qui tombe et essaie de relever les différentes notes qu’elle produit en fonction des endroits et des matières sur lesquels elle tombe.
L’intensité changeante de la pluie dynamise les lieux, les rend vivants. A cela s’ajoute, toujours impressionnants, des roulement de tambours visuels puis sonores : la foudre et le tonnerre entrent en scène !
Je me dis, finalement, que c’est Dame Nature qui rythme notre vie, nous autorise ce que l’on peut faire ou pas, selon qu’il fasse chaud, froid, qu’il pleuve ou qu’il vente.

Lieux de détente, bercé par la belle mélodie d’une fontaine et des oiseaux.

Le combat de l’ombre et de la lumière

Comme un voile de douceur qui protège le quartier

Tel un géant, le sapin surplombe et semble protéger le quartier

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