Carré 129

Carré d'étude réservé par Elias MICHELOTTI

Un quartier, deux monde.

Nom du lieu : Rue Paul Langevin

Il est assez tôt, aux alentours de 10 h, c’est un matin d’octobre bien ensoleillé.

Je me trouve dans un étroit passage qui est en fait un chemin d’habitations privées. Le sol est alors parsemé de gravillons qui forment un bruit plutôt agréable lorsque mes pas épousent le sol. Le chemin est alors comme fermé du reste car il est entouré de végétations comme des buissons et des murés, créant comme une enveloppe, permettant de couper les bruits et visions de la ville.
Les oiseux sont prédominants dans ce lieu, ils n’ont pas l’air effrayer et se permettent de naviguer entre les habitations et autour de moi. Les sons que produisent leurs chants sont plutôt bien perceptible surtout lorsqu’on se détache des bruits de la ville. Cependant ces oiseaux ne s’approchent pas de la route qui est au bout du chemin paisible.

En sortant de ce petit chemin on est alors confronté à la dure réalité qu’est la ville, un brouhaha Incessant, des véhicules produisant un bruit discontinu et pesant. En somme, tous les éléments qui régissent nos villes. On retrouve comme une forte distinction dans cette rue : d’un côté une vie en immeuble, collective, référence de la ville avec tout ce qui l’accompagne. De l’autre côté, une sorte de chemin de campagne border de maisons individualistes accompagné de verdures, de jardin et d’une vue sur les magnifiques montagnes qui me font face.

Il y a peu de passage humain et encore moins à la nuit tombée. À ce moment-là, l’endroit devient bien moins accueillant, je ressens comme un sentiment de profond malaise qui me donne envie de quitter le lieu. Je me retrouve alors seul avec peu de lumière, éclairé seulement par les phares des quelques véhicules passants qui casse le silence étouffant qui règne.

Le repère des oiseaux, loin de la routes emprunter par les véhicules bruyant.

Les immeubles, l'arrêt de bus et l'affiche publicitaire à l'image de la ville.

Une allée de la ville plutôt semblable à celle d'une campagne

Un chemin de maisons individuelles ensoleillé, au fond les immeubles accentuant cet effet d'enclavement des maisons.

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