Carré 110
Carré d'étude réservé par Clément BOURRIER
Une particule de Nature dans la ville
25 Septembre.
C’est à ce jour que je découvre le lieu qui m’a été attribué, au-delà d’une simple vue aérienne, je me trouve dans un espace qui ne me paraît plus totalement étranger après un rapide tour d’horizon. Le ciel est dégagé avec quelque nuage, la température est plutôt froide. Il est dimanche et je me trouve sur un banc à une des entrées du parc Maurice Thorez. L’ambiance est plutôt calme et je croise le regard de famille qui se promène et d’enfants sur leurs petits vélos. Une des nombreuses choses que j’ai relevés sont les rosiers revêtus de leurs fleurs rouge vif sur la partie adjacente à la route. Il y’a également des lauriers en fleur qui jouxte les deux côtés de l’allée qui mène au parc. Cela a retenu mon attention car de mon point de vue le jardin n’est fait que de pelouse et d’arbre classique tel que des platanes et des pains. Ce contraste est pour le moins plaisant, ils y invitent les passants à la curiosité d’entrée dans le parc pour en voir plus et laisse une bonne impression de fin pour qui en sort.
21 octobre.
IL est 9h40 et je suis sur mon lieu pour la troisième fois. À cette heure l’ambiance est paisible, j’ai pour raison le fait que ça soit le matin d’un jour en semaine, les seules personnes que j’ai croisées étaient des retraités. Ce calme qui règne d’autant qu’étant agréable me permet d’apercevoir la faune du parc qui ne semble pas troublée par la faible présence humaine. J’ai d’abord aperçu un petit oiseau, au vu de la couleur vive sous son bec je pense qu’il s’agissait d’un rouge gorge mais je n'en ai pas la certitude. Il m’a paru qu’il attendait de moi je lui donne des graines ou de la nourriture qui pourrait le satisfaire. Peu de temps après je fis la rencontre d’un écureuil qui sauter de branche en branche avec une agilité remarquable, un jeune chat d’une habitante le regarder fixement, j’imagine qu’il doit l’avoir en proie mais ces petites créatures sont tellement rapides que ce félin doit y trouver beaucoup de mal à l’attraper.
Un son de sirène au second plan sonore brise la bulle de sérénité du lieu.
les strates de béton semblent avoir perdu de leurs sens.
Contraste et harmonie
un spectateur inopiné